* MADRID - ESPAGNE - HOTEL CORTEZO

JOUR 1

Départ de la gare routière de Toulouse à 10:30hs.  Le bus est à l'heure et nous embarquons sans problème comme  une vingtaine d'autres passagers.

Nous remarquons de suite que l'équipe de chauffeurs ( 2 personnes) est nettement moins sympathique que nous !  ou " Bienvenue les gars " une description de nos escales ou du  mode d'emploi des WC ou du Wifi, Rien, Niet, Queudal, on démarre et voilà tout !
Inutile de s'attendre à un "Bonjour tout le monde" ,

Le bus est confortable, moderne mais bon, ce n'est pas non plus du Whaouuu la bête !  Comme d'habitude dans presque tous les bus, et on ne sait pas pourquoi, l'horloge centrale n'est pas à l'heure. Seulement deux heures et quart d'avance.

Les paysages s'enchaînent et traversons les Pyrénées . C'est beau ( pas autant que moi) mais c'est beau quand même. ( notez que je suis d'excellente humeur!)

Madame s'en fou, elle dort !



Je la réveille donc pour qu'elle puisse profiter un peu du paysage.Il n'y a pas ça au Paraguay ( son pays d'origine) alors..debout Sonia...profite !


Petite halte à Tarbes. Cinq minutes, le temps que des passagers descendent et d'autres montent.  Puis Pau, même chose. Nous avons laissé plus de passagers que nous n'en avons pris. Résultat, sur un total de 50 sièges seulement 13 étaient occupés. 

Petite anecdote à l'arrêt de Pau. Trois passagers désirent monter mais voilà qu'il y a eu un sac de nœud pour les réservations et ils avaient une réservation pour le lendemain alors qu'ils voulaient voyager aujourd'hui. Réaction de notre sympathique chauffeur; NON NON je peux pas vous prendre c'est pour demain! Oui mais, il y a eu une confusion et patati et patata..
Le Chauffeur appelle  la centrale et explique le topo. Comme tout bon espagnol qui se respecte, notre chauffeur parle haut et fort HOMBRREE donc tous le bus a eu le privilège d'écouter:

La centrale Flixbux, refuse de les faire monter car aujourd'hui le prix est plus cher que demain donc si nos aventuriers veulent poursuivre, il faut rajouter 70 euros par personne!  Moralité les trois zigottos ne sont pas montés et nous sommes repartis. Maintenant je rigole lorsque sur les publicités en tout genre on vous bassine avec le "confort du client", la sécurité d'abord", " nous sommes là pour vous" etc.. La vérité est qu'ils s'en foutent royalement du client et ne pensent qu'à leur business. Et en plus ils pensent mal car, cela ne leur aurait vraiment rien couté de les laisser monter étant donné que le bus était pratiquement vide jusqu'à Madrid. Ils auraient au moins gagné l'estime de leur clients. Une fois encore, ce genre de situation est le fruit des hauts diplômés des études commerciales qui finissent chef sans savoir pourquoi ni comment.

Voir la "surpopulation" dans le bus ayant "obligé"  FLIXBUS à refuser des passagers ! 


Allez on continue...

Avec tout ça, notre estomac commence à donner des signes de fringale.
Une fois encore, la compagnie pense d'abord au bien être de ses clients. Pour cela, le chauffeur et son copilote n'ont certainement pas osé nous déranger avec des informations inutiles et n'ont absolument rien indiqué quant aux éventuelles pauses détente / pipi caca / ou casse croûte. Résultat : aucune pause de ce genre avant Madrid. Accrochez-vous que nous avons de la route à faire ! Si t'as pas pensé à apporter un casse croûte et bien t'es baisé ! Je rappelle que nous sommes partis à 10:30 hs avec une arrivée estimée à 21:00 hs !  C'est quant même beau le professionnalisme!
 Pour détendre l'atmosphère voilà que la douane nous tombes dessus avec un contrôle surprise. Garez-.vous là s'il-vous-plaît !
 Ce fut une fois encore une occasion pour admirer le "professionnalisme" des parties intéressées. 
 _ ( le douanier) Bonjour !
_ ( le chauffeur)  OLA !
_ Votre liste de passagers SVP ?
_ Hombre que pasa ?
_ Vous parlez français ?
_ Que dice ?
_ (le douanier moitié en anglais- moitié espagnol et un accent bien de chez nous)
 Passenger (anglais) Lista (espagnol) do you comprende ?
_ Hay aqui los papeles del vehiculo ..
_ Non non , the list of passagers
_ Hay Hombre la lista...no hay, Solo en internet!
_ (le douanier) Chef !  Avec la barrière de la langue ça va pas être simple !
 quatres autres douaniers montent à bord. Chacun essaie de communiquer à sa manière avec les employés de Flixbus.

Sonia me fait des grands signes et me dit : Vas-y Jean-Luc va les aider ! Toi tu peux traduire!

He Ho , doucement je suis en vacances ! Laisses -les se dépatouiller c'est leur boulot !

Bon, déçus de ne pas avoir de liste, les douaniers prennent alors les passeports de tout le monde ( heureusement qu'on était pas nombreux ! ) et vont faire leur vérification. Après un bon quart d'heure et qu'aucun terroriste ne semble à bord, nous repartons tranquilou.

Maintenant je reviens sur le côté "pro" des parties intéressée. Comment est-ce possible que des chauffeurs faisant la liaison Toulouse- Madrid, ne captent que "bonjour" en Français ?  et de l'autre côté, comment est-ce possible que des douaniers affectés au contrôle de la douane Franco espagnole sachent à peine dire OLA ?   Et bien vous pouvez me croire, je n'ai rien exagéré. J'en ai même oublié car je ne veux pas écrire un bouquin. Mais c'est franchement pathétique !

Nous sommes donc arrivés avec une bonne demie heure de retard à Madrid. Et si l'on y pense bien, c'est encore une bourde des rois du management car, les horaires de routes sont si justes, que le moindre inconvénient se ressent sur le planning. Ils ne pourraient pas prendre un peu de marge ces abrutis ? Ce serait bénéfiques pour le stress des chauffeurs et beaucoup agréables pour les clients.

Bon, nous sommes bien arrivés quand même. Onze euros de taxi et vingt minutes après nous pouvions découvrir notre hôtel réservé sur Booking.com.

Le gars de l'accueil n'est certainement pas méchant mais beaucoup moins sympa que ses clients !  
_Vous avez la chambre 111
_ Merci..on peut régler maintenant ?
_ Non non..quand vous partirez !
_ Bon d'accord.

Maintenant entre nous, pour avoir travaillé 12 ans à la réception d'un hôtel je peux vous garantir que nous aurions pu régler à ce moment. Sauf que le gars n'avait pas envie de se casser le cul avec la facture !  Mais, je suis vache car j'ai demandé exprès pour voir la réaction !  Hé ! Hé ! Hé ! le petit vicieux !

Première impression : chambre très convenable. Pas spécialement luxueuse, ce n'est qu'un trois étoiles mais ça va !  Nous posons nos valises et ressortons aussi sec pour aller manger. Il est déjà 23 heures. Heureusement, à quelques mètres nous trouvons un restaurant espagnol tenu par des coréens !

Sonia prends un hamburger , pomme frites et moi une paella valencienne, qu'il ma fallut attendre une bonne demi heure. Sonia avait fini son plat ( pas vraiment terrible) que moi j'en était toujours à regarder les mouches voler.  La paella non plus n'était pas terrible mais bon j'avais faim. Le tout pour vingt euros merci au revoir, nous mangerons ailleurs demain !



Allez nous allons dormir, nous verrons la suite demain !


JOUR 2

Réveil à 8 heures et petit tour d'horizon de la chambre. Bon, nous ne sommes pas dans " Cauchemar à l'hôtel " ou " Bienvenue chez nous" et nous ne déplacerons pas tous les meubles pour voir s'il y a de la poussière derrière ni ne démonterons  les bondes pour trouver des cheveux du client d'avant, mais juste voir l'aspect et l'ambiance générale. Pour commencer, le lit était un peu petit pour deux bien que normal. C'est Sonia qui réclame. En ce qui me concerne, ce n'est pas la taille qui m'a dérangé, c'est plutôt la climatisation qui me soufflait directement dessus et me glaçait les oreilles. Je me croyais roulé en voiture mais sans le pare brise !  J'ai dormi sous la couverture pour ne pas prendre une congestion. Je l'aurai bien arrêté mais nous aurions vite eu trop chaud. Ouvrir la fenêtre n'était pas une option car facilement accessible pour un éventuel voleur ou assassin en série. ( nous regardons beaucoup de série!)  En parlant de fenêtre, la nôtre donne sur une cour intérieur et si on ne veut pas que le voisin d'en face nous voit déambuler à poil , les rideaux restent fermés en permanence.


Observation..il y avait un fumeur avant nous et qui jetait ses mégots par la fenêtre:


La salle de bain:

Le petit déjeuner de l'hôtel étant à 12 euros par personne, nous décidons d'aller voir ailleurs pour quelque chose de plus économique. Et nous retournons chez la coréenne d'hier:  Un café, un thé, deux portions de churros et un jus d'orange pour même pas 7 euros. Le buffet de l'hôtel était certainement plus copieux mais le matin nous ne sommes pas de gros mangeurs. Les churros étaient salés et nous nous attendions à un truc sucré mais bon c'est peut être la coutume locale.

Un bref retour dans la chambre pour que Madame change de chaussure et nous voilà parti pour faire notre session "touriste". En sortant de l'hôtel, nous pouvons voir que la réalité de tous les jours ne correspond pas exactement aux photos publicitaire !

Petit tour à la célèbre PLAZA MAYOR qui est à deux pas de l'hôtel. A peine cinq minutes à pieds.

Ma femme qui ne sait pas cadrer et a trouvé le poteau sympa !

et visite des principaux sites de Madrid. Il y en a énormément, c'est très joli et les décrire tous me prendrai beaucoup de temps. Donc je survole : PALAIS ROYAL, MUSEO DEL PRADO, PLAZA DE LA CIBELES, CATHEDRALE DE LA ALMUDENA, PARQUE DEL BUEN RETIRO, PALACIO DE COMUNICACIONES, MONUMENTO AL REY ALFONSO XII .




MADRID est une ville très riches en histoire et monuments et régalera assurément tous les passionnés d'histoire.

Retour à l'hôtel vers 22 heures. Crevés car nous faisons tout à pieds mais heureux de notre journée !


JOUR 3


Réveil à 10:00 hs ! C'est déjà notre dernier jour. Nous avons le temps car notre bus n'est qu'à 20h50 !  Mais bien sûr, si nous ne voulons pas payer une journée de plus à l'hôtel il nous faut libérer la chambre avant midi. Donc, réveil en douceur, puis ce sera petit déjeuner quelque part, nous reviendrons ensuite pour descendre nos valises à la réception et ce sera balade le reste de la journée en attendant l'heure de départ.

Nous trouvons un petit bar pas bien loin et pour quelques euros ( à peine 7 euros ) nous prenons notre café croissant et tostada.


Et nous voilà parti en direction de la GRAN VIA pour faire un tour au fameux magasin EL CORTE INGLES.



Sonia est aux anges car pour une fois je ne vais pas la presser, nous avons jusqu'à ce soir ! 

Donc séance essayage ! Même moi avec un joli chapeau style INDIANA JONES !

Aux alentours de 14 heures nous avons déjeuné dans un restaurant. Le buffet self service était à 10.95 Euros par personne et le choix du lieu était judicieux. Bonne nourriture et variée.



Retour à l^hôtel à 16 heures pour reprendre nos valises. Petite photo à la réception et nous voilà parti courageusement jusqu'à la gare routière SUR MENDEZ ALVARO. Une bonne heure de marche tout de même !


20h50 départ du quai 21 dans un FLIXBUS. Bonne surprise, il est plus confortable que celui que nous avons pris pour venir, Mais les chauffeurs toujours aussi expressifs car ils ne nous ont pas dit un mot sur tout le trajet. Même lorsqu'une petite heure avant d'arriver à Toulouse, ils se sont arrêttés près de vingt minutes sur une place sans nous dire pourquoi !  C'est fou ce que l'homme du XXIème siècle est communicatif !

Enfin, le bilan du voyage est positif. Madrid est à voir. L'hôtel était très bien situé et acceptable. Pas du grand luxe mais c'est ce quoi à nous nous attendions. Quand au transport...depuis Toulouse, dix heures de bus c'est quand même long !

Allez..au prochain voyage !


Né en 1956,à Lyon, Jean-Luc GOUBET devient dès 1968,artiste de variété (fils de fakir!).

Grâce à cette activité et avec ses parents, il visitera de nombreux pays en Europe, en Extrême et Proche Orient et même l’Australie.

En 1982 toute sa famille s’installe au Paraguay, il y exercera mille et un métiers.

Passionné de l'esprit et du comportement humain, il observe, admire ou critique mais surtout écrit. Il le fait pour comprendre et faire comprendre notre monde. Parfois rêveur, dur, très dur  voire sarcastique mais toujours très lucide et avec un brin d'humour !

Voici la liste de ses ouvrages :

Dépendance.       
                                                                             
Choisir dépend de notre vie, notre vie dépend de notre choix.

Lorsque l’on écoute le mot dépendance celui-ci est principalement associé aux drogues en général. Nous imaginons déjà un homme ou une femme avec un aspect immonde, ravagé par le vice des stupéfiants ou de l’alcool. Toutefois la “maladie” de la dépendance est bien plus sournoise que l’on  pense. Nous pouvons considérer une personne dépendante à partir du moment ou celle-ci se sent  “obligée” de réaliser un acte irrationnel. Nous cheminerons du simple tic à l’overdose en passant par l'habitude, la manie, la phobie et le fanatique. Drogué par son stimulant imaginaire, le dépendant  n’apprécie plus la vie à sa juste valeur. Seuls l’intéressent les problèmes qu’il se crée de toutes  pièces. Sa vie dépend de son malheur alors que son bonheur ne dépend que de lui.

                                                                                                             
Le véhicule.          
                                                                             
Un homme ne sachant pas se contrôler est aussi dangereux qu’un véhicule sans freins !
                                                                             
Dans ce livre, nous essayerons de prendre plus au sérieux la croyance mentionnant la séparation du corps et de l’esprit. L’image reflétée par le miroir n’est que le véhicule. Le conducteur, le moi qui pense et agit, est à l’intérieur. La vie prend alors une route différente. L’esprit doit apprendre à conduire son véhicule, le garer et l’entretenir. Nous comprendrons pourquoi certains roulent à moto et d’autres en Ferrari. Pourquoi certaines personnes sont comparables à un conducteur robot, chauffeur du dimanche, de camions ou d’autobus !  Pourquoi d’autres ne sont que des passagers, autostoppeurs ou piétons. Nous visiterons le territoire au-delà de l’asphalte. Le pays des conducteurs  sans véhicule, le pays des âmes sans corps, le pays des morts. Nous roulerons vers le paradis.


But.                  

Un homme sans but est un homme sans espoir.

C'est un livre avec un but bien marqué et qui devrait servir à autre chose qu'à mettre un ballon dans les filets. Un livre où, même si vous n'êtes pas joueur vous devriez vous sentir sur la touche. Avoir un but reflète une action réfléchie par laquelle nous mettrons notre intelligence dans la direction choisie. Le but est la cible sur laquelle notre esprit se concentre pour arriver à ses fins. Et ce, quelle que soit notre action. De la plus infime à la plus titanesque. Un poil retourné dans les narines, une petite chatouille gênante et… notre index se lève aussitôt « ramoner» les lieux. Cet index bienfaiteur ne s’est pas déplacé pour rien. Aussi idiot que cela puisse paraître… il avait un but. Sur Terre, rien ne bouge sans raison… sans but. Quel est véritablement le nôtre ?


Le  secret d'un fakir   (HISTOIRE VRAIE)
Léon Goubet, simple fils de paysan, avait une passion : le corps humain. Les difficiles conditions de vie engendrées par le tumulte de la seconde guerre mondiale, ainsi que la pauvreté de la campagne où il grandit, ne lui permirent pas d’entamer des études de médecine. Poussé à la fois par ses rêves d’enfant et une curiosité hors du commun, très jeune, il décida d’apprendre par lui-même ce qu’il ne pouvait étudier sur le banc d’une école. Il observait les gens, les choses, et il observait surtout son corps qui, pour lui, allait devenir son « laboratoire ». De santé fragile, la douleur était son pire ennemi. Encore enfant, au détour d’une conversation, il entendit parler de prouesses extraordinaires que certains hommes, là-bas, dans le lointain Orient, étaient capables de réaliser avec leur corps : des fakirs. Ces êtres merveilleux ne craignaient ni la douleur, ni la mort. Était-ce vraiment une réalité ou un simple conte des mille et une nuits ?

  
Les 1001 aberrations de l'intelligence humaine  Volume 1

 
L’intelligence humaine, merveilleuse capacité qui nous permet de créer et d’améliorer notre sort. Nous sommes fiers de cette faculté sensée nous propulser au sommet de l’évolution animale. Mais qu’en est-il vraiment ? L’homme, dans son ensemble, est-il vraiment « intelligent » ? Les merveilles de notre civilisation, preuves irréfutables de notre intelligence sont elles le fruit de nous tous ou d’une simple poignée d’hommes et de femmes détenteur de cette fameuse faculté ?
Une simple qualité, dans quel que domaine que ce soit, suffit-elle à prouver notre intelligence telle que nous l’imaginons, complète, immaculée et sans faille ?
Apparemment l’espèce humaine est dotée d’un potentiel de logique, de calcul, et de déduction bien supérieur à celui du reste du monde animal. Cela semble une évidence. Mais sait-il seulement s’en servir ?
Les difficultés et les dangers de la vie moderne, les absurdités, les croyances d’un autre temps ainsi que tous les autres comportements barbares, inhumains et bestiaux de bons nombres de nos contemporains, tendent à prouver que l’intelligence est au contraire trop souvent absente de notre patrimoine génétique.

C’est avec tristesse, parfois un brin d’humour ou du dégout mais toujours très lucide que, dans cet ouvrage, nous parcourrons les 1001 situations dévoilant les aberrations de l’intelligence humaine.


Les règles du jeu

ESPRIT es- tu là ?

Bien nombreux sont encore les mystères du monde et bien présomptueux est celui qui affirmerait les avoir tous percés.
Pour cette raison même, la plupart des règles de la vie nous sont encore inconnues.
Ce sont les règles du jeu. Mystérieuses et envoûtantes, sans cesse présentes mais insaisissables, elles nous accompagnent tout au long de notre existence terrestre et probablement au-delà !

La frontière de l’impossible recule à mesure que les connaissances avancent et, ce qui était extraordinaire hier est, aujourd’hui, des plus ordinaires.
Toute nouvelle découverte est une véritable explosion. Une simple idée partie du néant, sans poids ni matière, s’étend vers l’infini et dans toutes les directions. Il suffit de trois fois rien pour changer les perspectives de l’humanité toute entière. Il suffit de découvrir ce qui a toujours existé car, « rien ne se perd et rien ne se crée », le modeler à l’aide de notre intelligence et le jeter sur la table. L’utilisation d’une seule carte abandonnée par un mauvais joueur peut faire rebondir le dénouement du jeu. Ajouter une seule connaissance à notre savoir peut contribuer à résoudre les mystères les plus anciens et nous aider ainsi à passer de la sorcellerie à la science et du surnaturel au naturel.
C’est ce que nous tenterons de faire au cours de ce livre. Nous jouerons une carte laissée de côté depuis fort longtemps.
Nous allons jouer la carte de l’esprit.


Les dents de la belle-mère

Mercedes Andalou vit un monde de rêves et d’illusions. Au sens propre et figuré. Son mari, le grand Aldo, magicien sur scène et dans l’âme, l’emmène parcourir le monde. Elle est jeune, elle est belle. Ricardito, son petit garçon l’admire ainsi que les hommes et le reste du monde. Elle est heureuse. Pour elle, il en sera toujours ainsi. Mais la vie est comme un beau spectacle. C’est encore une illusion. Le rideau finit par tomber. Les acteurs vieillissent, la roue tourne. Aldo décide de prendre sa retraite et d’aller planter du café en Amérique du Sud avec Wally, son agent, celui avec qui un contrat avait déjà mal tourné ! …Sa vie de paillettes et de strass, de lumière et d’insouciance, change soudain.Ricardito grandit et rencontre Linda. Maman, sera bien obligée de passer belle-maman !


Les 1001 aberrations de l'intelligence humaine Volume 2
L’intelligence humaine, merveilleuse capacité qui nous permet de créer et d’améliorer notre sort. Nous sommes fiers de cette faculté sensée nous propulser au sommet de l’évolution animale. Mais qu’en est-il vraiment ? L’homme, dans son ensemble, est-il vraiment « intelligent » ?
C’est  ce que nous allons découvrir  dans ce  2ème volume du même titre où l’auteur, déjà détesté, en rajoute une couche et c’est encore plus meurtrier que  dans le premier opus !






ALLO ? L'ALLIANCE ?
Pour des raisons que nous ne dévoilerons pas ici, l’auteur, un « petit » français, se retrouve secrétaire d’accueil dans une « alliance » française d’un petit pays sud-américain.
Avec un humour certain, et il le reconnait volontiers, parfois un peu « cinglant », il nous raconte son quotidien : Ses déboires face aux élèves, aux professeurs et son directeur préféré.
Malgré des situations incroyables, ce livre est le recueil d’anecdotes absolument véridiques et authentiques. Accrochez-vous, ou plutôt décrochez car le téléphone sonne déjà : Allo ? l’alliance ?
1.- Driinnng ! ( le téléphone sonne)
_ Alliance française bonjour.
_ Allô, oui ! Dites-moi, les cours du samedi commencent lundi à quelle heure ?
_ Non madame, ils commencent le samedi !.
_ Ah ! Et les cours du lundi commencent quel jour ?
_ Le lundi madame !


Éditions Book-e-Book      
Ben-ghou-bey, mon père, ce fakir .        
ISBN 2-915 312-07-9

                             
Ce livre rend un émouvant hommage à un homme un peu particulier…BEN-GHOU-BEY, homme mystérieux aux pouvoirs « surnaturels », homme qui défie les lois de la nature et celles des hommes. A la fois artiste de variétés, guérisseur, et avant tout père de famille, cet homme réellement hors du commun, entraîne les siens parcourir le monde. Une aventure qui commence en France, se poursuit au Moyen et Extrême Orient et se termine au cœur de l’Amérique du Sud. Maître de l’occulte, il étonne son entourage même après sa mort. De son vivant, il avait dit à ceux qui n’y croyaient pas, il l’avait assuré à son fils Jean-Luc, il reviendrait, il ne les abandonnerait pas.
« Ils  s’en poseront des questions », disait-il toujours. Aujourd’hui, son fils sait qu’il a tenu promesse.
BEN-GHOU-BEY, un père pas comme les autres…un fakir







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