JOUR 2
Réveil à 8 heures et petit tour
d'horizon de la chambre. Bon, nous ne sommes pas dans " Cauchemar à l'hôtel
" ou " Bienvenue chez nous" et nous ne déplacerons pas tous les
meubles pour voir s'il y a de la poussière derrière ni ne démonterons les bondes pour trouver des cheveux du client
d'avant, mais juste voir l'aspect et l'ambiance générale. Pour commencer, le
lit était un peu petit pour deux bien que normal. C'est Sonia qui réclame. En
ce qui me concerne, ce n'est pas la taille qui m'a dérangé, c'est plutôt la
climatisation qui me soufflait directement dessus et me glaçait les oreilles.
Je me croyais roulé en voiture mais sans le pare brise ! J'ai dormi sous la couverture pour ne pas
prendre une congestion. Je l'aurai bien arrêté mais nous aurions vite eu trop
chaud. Ouvrir la fenêtre n'était pas une option car facilement accessible pour
un éventuel voleur ou assassin en série. ( nous regardons beaucoup de série!) En parlant de fenêtre, la nôtre
donne sur une cour intérieur et si on ne veut pas que le voisin d'en face nous
voit déambuler à poil , les rideaux restent fermés en permanence.
Observation..il y avait un fumeur avant nous et qui jetait ses mégots par la fenêtre:
Observation..il y avait un fumeur avant nous et qui jetait ses mégots par la fenêtre:
Le petit déjeuner de l'hôtel étant à 12 euros par
personne, nous décidons d'aller voir ailleurs pour quelque chose de plus
économique. Et nous retournons chez la coréenne d'hier: Un café, un thé, deux portions de churros et
un jus d'orange pour même pas 7 euros. Le buffet de l'hôtel était certainement
plus copieux mais le matin nous ne sommes pas de gros mangeurs. Les churros
étaient salés et nous nous attendions à un truc sucré mais bon c'est peut être
la coutume locale.
Un bref retour dans la chambre pour que Madame change de
chaussure et nous voilà parti pour faire notre session "touriste". En sortant de l'hôtel, nous pouvons voir que la réalité de
tous les jours ne correspond pas exactement aux photos publicitaire !
Petit tour à la célèbre PLAZA MAYOR qui est à deux pas de
l'hôtel. A peine cinq minutes à pieds.
Ma femme qui ne sait pas cadrer et a trouvé le poteau sympa !
et visite des principaux sites de Madrid. Il y en a énormément, c'est très joli et les décrire tous me prendrai beaucoup de temps. Donc je survole : PALAIS ROYAL, MUSEO DEL PRADO, PLAZA DE LA CIBELES, CATHEDRALE DE LA ALMUDENA, PARQUE DEL BUEN RETIRO, PALACIO DE COMUNICACIONES, MONUMENTO AL REY ALFONSO XII .
Ma femme qui ne sait pas cadrer et a trouvé le poteau sympa !
et visite des principaux sites de Madrid. Il y en a énormément, c'est très joli et les décrire tous me prendrai beaucoup de temps. Donc je survole : PALAIS ROYAL, MUSEO DEL PRADO, PLAZA DE LA CIBELES, CATHEDRALE DE LA ALMUDENA, PARQUE DEL BUEN RETIRO, PALACIO DE COMUNICACIONES, MONUMENTO AL REY ALFONSO XII .
MADRID est une ville très riches en histoire et monuments
et régalera assurément tous les passionnés d'histoire.
Retour à l'hôtel vers 22 heures. Crevés car nous faisons
tout à pieds mais heureux de notre journée !
Né en 1956,à Lyon, Jean-Luc GOUBET devient dès 1968,artiste de variété (fils de fakir!).
Grâce à cette activité et avec ses parents, il visitera de nombreux pays en Europe, en Extrême et Proche Orient et même l’Australie.
En 1982 toute sa famille s’installe au Paraguay, il y exercera mille et un métiers.
Passionné de l'esprit et du comportement humain, il observe, admire ou critique mais surtout écrit. Il le fait pour comprendre et faire comprendre notre monde. Parfois rêveur, dur, très dur voire sarcastique mais toujours très lucide et avec un brin d'humour !
Voici la liste de ses ouvrages :
Dépendance.
Choisir dépend de notre vie, notre vie dépend de notre choix.
Lorsque l’on écoute le mot dépendance celui-ci est principalement associé aux drogues en général. Nous imaginons déjà un homme ou une femme avec un aspect immonde, ravagé par le vice des stupéfiants ou de l’alcool. Toutefois la “maladie” de la dépendance est bien plus sournoise que l’on pense. Nous pouvons considérer une personne dépendante à partir du moment ou celle-ci se sent “obligée” de réaliser un acte irrationnel. Nous cheminerons du simple tic à l’overdose en passant par l'habitude, la manie, la phobie et le fanatique. Drogué par son stimulant imaginaire, le dépendant n’apprécie plus la vie à sa juste valeur. Seuls l’intéressent les problèmes qu’il se crée de toutes pièces. Sa vie dépend de son malheur alors que son bonheur ne dépend que de lui.
Le véhicule.
Un homme ne sachant pas se contrôler est aussi dangereux qu’un véhicule sans freins !
Dans ce livre, nous essayerons de prendre plus au sérieux la croyance mentionnant la séparation du corps et de l’esprit. L’image reflétée par le miroir n’est que le véhicule. Le conducteur, le moi qui pense et agit, est à l’intérieur. La vie prend alors une route différente. L’esprit doit apprendre à conduire son véhicule, le garer et l’entretenir. Nous comprendrons pourquoi certains roulent à moto et d’autres en Ferrari. Pourquoi certaines personnes sont comparables à un conducteur robot, chauffeur du dimanche, de camions ou d’autobus ! Pourquoi d’autres ne sont que des passagers, autostoppeurs ou piétons. Nous visiterons le territoire au-delà de l’asphalte. Le pays des conducteurs sans véhicule, le pays des âmes sans corps, le pays des morts. Nous roulerons vers le paradis.
But.
Un homme sans but est un homme sans espoir.
C'est un livre avec un but bien marqué et qui devrait servir à autre chose qu'à mettre un ballon dans les filets. Un livre où, même si vous n'êtes pas joueur vous devriez vous sentir sur la touche. Avoir un but reflète une action réfléchie par laquelle nous mettrons notre intelligence dans la direction choisie. Le but est la cible sur laquelle notre esprit se concentre pour arriver à ses fins. Et ce, quelle que soit notre action. De la plus infime à la plus titanesque. Un poil retourné dans les narines, une petite chatouille gênante et… notre index se lève aussitôt « ramoner» les lieux. Cet index bienfaiteur ne s’est pas déplacé pour rien. Aussi idiot que cela puisse paraître… il avait un but. Sur Terre, rien ne bouge sans raison… sans but. Quel est véritablement le nôtre ?
Le secret d'un fakir (HISTOIRE VRAIE)
Les règles du jeu
ESPRIT es- tu là ?
Bien nombreux sont encore les mystères du monde et bien présomptueux est celui qui affirmerait les avoir tous percés.
Pour cette raison même, la plupart des règles de la vie nous sont encore inconnues.
Ce sont les règles du jeu. Mystérieuses et envoûtantes, sans cesse présentes mais insaisissables, elles nous accompagnent tout au long de notre existence terrestre et probablement au-delà !
La frontière de l’impossible recule à mesure que les connaissances avancent et, ce qui était extraordinaire hier est, aujourd’hui, des plus ordinaires.
Toute nouvelle découverte est une véritable explosion. Une simple idée partie du néant, sans poids ni matière, s’étend vers l’infini et dans toutes les directions. Il suffit de trois fois rien pour changer les perspectives de l’humanité toute entière. Il suffit de découvrir ce qui a toujours existé car, « rien ne se perd et rien ne se crée », le modeler à l’aide de notre intelligence et le jeter sur la table. L’utilisation d’une seule carte abandonnée par un mauvais joueur peut faire rebondir le dénouement du jeu. Ajouter une seule connaissance à notre savoir peut contribuer à résoudre les mystères les plus anciens et nous aider ainsi à passer de la sorcellerie à la science et du surnaturel au naturel.
C’est ce que nous tenterons de faire au cours de ce livre. Nous jouerons une carte laissée de côté depuis fort longtemps.
Nous allons jouer la carte de l’esprit.
Les dents de la belle-mère
Mercedes Andalou vit un monde de rêves et d’illusions. Au sens propre et figuré. Son mari, le grand Aldo, magicien sur scène et dans l’âme, l’emmène parcourir le monde. Elle est jeune, elle est belle. Ricardito, son petit garçon l’admire ainsi que les hommes et le reste du monde. Elle est heureuse. Pour elle, il en sera toujours ainsi. Mais la vie est comme un beau spectacle. C’est encore une illusion. Le rideau finit par tomber. Les acteurs vieillissent, la roue tourne. Aldo décide de prendre sa retraite et d’aller planter du café en Amérique du Sud avec Wally, son agent, celui avec qui un contrat avait déjà mal tourné ! …Sa vie de paillettes et de strass, de lumière et d’insouciance, change soudain.Ricardito grandit et rencontre Linda. Maman, sera bien obligée de passer belle-maman !
Les 1001 aberrations de l'intelligence humaine Volume 2
L’intelligence humaine, merveilleuse capacité qui nous permet de créer et d’améliorer notre sort. Nous sommes fiers de cette faculté sensée nous propulser au sommet de l’évolution animale. Mais qu’en est-il vraiment ? L’homme, dans son ensemble, est-il vraiment « intelligent » ?
C’est ce que nous allons découvrir dans ce 2ème volume du même titre où l’auteur, déjà détesté, en rajoute une couche et c’est encore plus meurtrier que dans le premier opus !
ALLO ? L'ALLIANCE ?
Pour des raisons que nous ne dévoilerons pas ici, l’auteur, un « petit » français, se retrouve secrétaire d’accueil dans une « alliance » française d’un petit pays sud-américain.
Avec un humour certain, et il le reconnait volontiers, parfois un peu « cinglant », il nous raconte son quotidien : Ses déboires face aux élèves, aux professeurs et son directeur préféré.
Malgré des situations incroyables, ce livre est le recueil d’anecdotes absolument véridiques et authentiques. Accrochez-vous, ou plutôt décrochez car le téléphone sonne déjà : Allo ? l’alliance ?
1.- Driinnng ! ( le téléphone sonne)
_ Alliance française bonjour.
_ Allô, oui ! Dites-moi, les cours du samedi commencent lundi à quelle heure ?
_ Non madame, ils commencent le samedi !.
_ Ah ! Et les cours du lundi commencent quel jour ?
_ Le lundi madame !
Éditions Book-e-Book
Ben-ghou-bey, mon père, ce fakir .
ISBN 2-915 312-07-9
Ce livre rend un émouvant hommage à un homme un peu particulier…BEN-GHOU-BEY, homme mystérieux aux pouvoirs « surnaturels », homme qui défie les lois de la nature et celles des hommes. A la fois artiste de variétés, guérisseur, et avant tout père de famille, cet homme réellement hors du commun, entraîne les siens parcourir le monde. Une aventure qui commence en France, se poursuit au Moyen et Extrême Orient et se termine au cœur de l’Amérique du Sud. Maître de l’occulte, il étonne son entourage même après sa mort. De son vivant, il avait dit à ceux qui n’y croyaient pas, il l’avait assuré à son fils Jean-Luc, il reviendrait, il ne les abandonnerait pas.
« Ils s’en poseront des questions », disait-il toujours. Aujourd’hui, son fils sait qu’il a tenu promesse.
BEN-GHOU-BEY, un père pas comme les autres…un fakir
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